C’est ainsi que l’ami Pascal B. intitule son nouveau site. Programme alléchant : « voilà donc ouvert sur le blog Pagicare, cet espace gratuit et ouvert à tous pour l’Après Ensemble, cette Confinerie de l’Imaginaire pour explorer ensemble les confins de notre temps et la réconciliation avec nous-mêmes si divisés et si distanciés, pour préparer le décon-finement… je vous invite à y participer ou à tout simplement partager textes, impressions, lectures, confiseries poétiques, qui iront dans le sens de la reconquête du Sens (notion totalement ouverte pourvu qu’elle soit humaniste et solidaire) pour un Après plus lumineux, à hauteur d’homme mais pas que (week-end pascal oblige 😉
https://pagicare.wordpress.com/la-confinerie-de-limaginaire-pour-lapres-ensemble/
Adhésion totalement gratuite, pas d’attestation ni de justificatif d’immunité nécessaire… chacun restant maître de ses pensées, de ses actes et de ses oeuvres ». Beau programme, non ?
Tous les articles par Gérard Bastide
Haïkus de la saison des confins
La saison des confins, c’est ce curieux temps suspendu, cette drôle de guerre contre un ennemi invisible… Le temps de quelques réflexions et poèmes courts que j’ai couchés sur un recueil virtuel
« Haïkus de la saison des confins »
visibles ici chez Calame o.
l’essaim des derniers jours
« l’essaim des derniers jours », une nouvelle fantastique de GB
L’entame : C’est ce jour-là que Carol Peren décida de quitter le Centre. Un samedi. Ou un mercredi. Ou bien était-ce un autre jour. Peu importe, il lui semblait que cela faisait des mois et des mois qu’il y avait été admis. En vérité, il n’en savait plus rien depuis qu’on lui avait supprimé son si précieux calendrier au matin du trois cent-quarante septième jour. Pendant quelque temps, Peren avait continué à cocher les jours sur une plinthe de sa chambre mais là aussi sa manœuvre avait été découverte…
La suite parue est à découvrir dans le blog tarnais » Manières de dire » de mars 2020.
Vis! ruse !
Vis ! Ruse ! Mon texte du 20 mars 2020 paru dans le blog de l’écolo Castres : « Il serait extrêmement présomptueux de commencer à tirer les leçons d’une crise alors que celle-ci vient à peine de commencer. Toutefois, l’assignation à résidence que je subis comme tant d’autres me fournit assez de temps pour méditer sur cette pandémie.
Ce virus, parlons-en… » la suite par ici
» sur la piste de Vincent » au festival « la roue tourne »
Samedi 1° février et dimanche 2, la 5° édition du festival de voyage à vélo » la roue tourne » de Roques /Garonne : un riche programme de conférences, reportages, ateliers, exposants, balades… J’y suis invité pour présenter mon docu-fiction « sur la piste de Vincent », un rodemouvie décalé sur les traces de Vincent van Gogh de Brabant en Provence, d’Arles à Auvers, de Mons à Paris entre paysages goghiens, interviews… et quelques énigmes non résolues.
un nouveau masque…
… d’artiste ! J’ai confié à Nadine Vergues le soin de réaliser en feutre le masque de mon prochain spectacle. Jugez du travail : impressionnant ! Reste maintenant à l’apprivoiser ( le masque) et à travailler le texte qui ira avec. Prochaine sortie au festival Mai que Mai de Colombières /Orb au mois de mai.
dans la bibliothèque du « Randonneur »N°72
le kilomètre souple
le voyageur menteur dans La Dépêche
un lecteur qui vous veut du bien
Quelques mois après la parution de mon dernier titre « Le voyageur est un menteur », un lecteur m’a transmis le courrier enthousiaste d’un autre lecteur à qui il avait offert le livre. Ce genre de situation est suffisamment rare pour que- ma modestie dût-elle en souffrir- je ne résiste pas au plaisir de la copier ici :
» (…) quelle surprise ce livre ! Je ne connaissais pas Gérard Bastide. Il était temps. Evidemment, je comprends pourquoi tu as pensé à moi car, dès les premières pages, je me suis retrouvé dans ce « voyageur menteur ». Enfin, vélo-périple-bivouac-rencontres, là s’arrêtent les ressemblances car ma plume glisse plus péniblement que mon vélo ne roule. Je t’avoue que, si les chemins parcourus laissent des traces profondes (et invisibles) , celles de Gérard Bastide, comme son mandala de couverture ( quelle belle et lumineuse façon de raconter les voyages cyclistes), sont en plus nettes et précises, montrant sans ostentation son érudition, restant toujours à fleur d’humour quand il referme une parenthèse à gorge déployée… et ce rébus, comme une magnifique excroissance sur le nez de cet itinéraire que je n’avais pas débusquée ! Je connais quelques voyageurs-narrateurs (Nicolas Bouvier, Sylvain Tesson entre autres) qui m’aident à découvrir dans mes pérégrinations des » filons d’or » à côté desquels je serais passé sans eux, ce « voyageur-menteur » fait mieux : il m’a taillé une branche de coudrier pour trouver des sources nombreuses et rafraichissantes pour l’Ame… Merci donc pour ce livre-boussole aussi. Hélas, et malgré sa bibliographie étoffée, je n’ai trouvé aucune entrée ‘Gérard Bastide’ à la médiathèque (…) mais je n’abandonnerai pas une veine aussi prometteuse… »
Glups !