Tous les articles par Gérard Bastide

l’essaim des derniers jours

« l’essaim des derniers jours », une nouvelle fantastique de GB

L’entame : C’est ce jour-là que Carol Peren décida de quitter le Centre. Un samedi. Ou un mercredi. Ou bien était-ce un autre jour. Peu importe, il lui semblait que cela faisait des mois et des mois qu’il y avait été admis. En vérité, il n’en savait plus rien depuis qu’on lui avait supprimé son si précieux calendrier au matin du trois cent-quarante septième jour. Pendant quelque temps, Peren avait continué à cocher les jours sur une plinthe de sa chambre mais là aussi sa manœuvre avait été découverte…

La suite parue est à découvrir dans  le blog tarnais  » Manières de dire   » de mars 2020.

Vis! ruse !

Vis ! Ruse  ! Mon texte du 20 mars 2020 paru dans le blog de l’écolo Castres :  « Il serait extrêmement présomptueux de commencer à tirer les leçons d’une crise alors que celle-ci vient à peine de commencer. Toutefois, l’assignation à résidence que je subis comme tant d’autres me fournit assez de temps pour méditer sur cette pandémie.
Ce virus, parlons-en… » la suite par ici

 » sur la piste de Vincent » au festival « la roue tourne »

Samedi 1° février et dimanche 2, la 5° édition du festival de voyage à vélo  » la roue tourne  » de Roques /Garonne : un riche programme de conférences, reportages, ateliers, exposants, balades… J’y suis invité pour présenter mon docu-fiction « sur la piste de Vincent », un rodemouvie décalé sur les traces de Vincent van Gogh de Brabant en Provence, d’Arles à Auvers, de Mons à Paris entre paysages goghiens, interviews… et quelques énigmes non résolues.

un lecteur qui vous veut du bien

Quelques mois après la parution de mon dernier titre « Le voyageur est un menteur », un lecteur m’a transmis le courrier enthousiaste d’un autre lecteur à qui il avait offert le livre. Ce genre de situation est suffisamment rare pour que- ma modestie dût-elle en souffrir- je ne résiste pas au plaisir de la copier ici :

 » (…) quelle surprise ce livre  ! Je ne connaissais pas Gérard Bastide. Il était temps. Evidemment, je comprends pourquoi tu as pensé à moi car, dès les premières pages, je me suis retrouvé dans ce « voyageur menteur ». Enfin, vélo-périple-bivouac-rencontres, là s’arrêtent les ressemblances car ma plume glisse plus péniblement que mon vélo ne roule. Je t’avoue que, si les chemins parcourus laissent des traces profondes (et invisibles) , celles de Gérard Bastide, comme son mandala de couverture ( quelle belle et lumineuse façon de raconter les voyages cyclistes), sont en plus nettes et précises, montrant sans ostentation son érudition, restant toujours à fleur d’humour quand il referme une parenthèse à gorge déployée… et ce rébus,  comme une magnifique excroissance sur le nez de cet itinéraire que je n’avais pas débusquée ! Je connais quelques voyageurs-narrateurs (Nicolas Bouvier, Sylvain Tesson entre autres) qui m’aident à découvrir dans mes pérégrinations des »  filons d’or  » à côté desquels je serais passé sans eux, ce « voyageur-menteur » fait mieux : il m’a taillé une branche de coudrier pour trouver des sources nombreuses et rafraichissantes pour l’Ame… Merci donc pour ce livre-boussole aussi. Hélas, et malgré sa bibliographie étoffée, je n’ai trouvé aucune entrée ‘Gérard Bastide’ à la médiathèque (…) mais je n’abandonnerai pas une veine aussi prometteuse… »

Glups !