Je viens de retrouver sur le net une vidéo d’un de mes spectacles joué il y a pas mal de temps (2009 !). J’y tiens le rôle de Célestin, un braconnier borgne. Tout un programme …
Je viens de retrouver sur le net une vidéo d’un de mes spectacles joué il y a pas mal de temps (2009 !). J’y tiens le rôle de Célestin, un braconnier borgne. Tout un programme …
A l’initiative de la dynamique association Generation Mountain Bike revivent les premières années du vélo de montagne, devenu depuis VTT. Ces dynamiques trentenaires- pour la plupart- ravivent la mémoire de ces années pionnières où, avant de devenir une discipline olympique, le milieu naissant du VTT fut un véritable bouillon de cultures. Jolie démarche, dans le French Hall of Fame, ils mettent à l’honneur autant les individus que leurs drôles de machines. C’est ainsi j’ai l’honneur de m’y retrouver en très bonne compagnie !
Et c’est dans le N° 165 de la revue du Cyclo-Camping International !
La parution de l’ouvrage collectif « à plume et à pédales »
a suscité une glose universitaire toujours intéressante, témoin cet article paru dans Viatica sous la plume de Marie Mossé (références in fine) à qui j’emprunte quelques passages me concernant directement ( en italiques) : De manière particulièrement appréciable, le cœur critique de la publication trouve son contrepoint à travers le diptyque des voix de ce que l’on pourrait appeler – sur le modèle des « écrivains-voyageurs » – des écrivains-cyclistes : Gérard Bastide et Claude Marthaler, qui ouvrent et referment respectivement la réflexion introduite par de brefs récits et méditations inédites sur le sens du voyage et de l’écriture à pédales (…) L’ouvrage se compose d’un total de quatorze contributions. Trois d’entre elles (Piguet ; Bastide ; Marthaler) sont dévolues à la ressaisie de l’objet étudié par les outils de la théorie ou de la création littéraire (…) Raphaël Piguet et Gérard Bastide se partagent les quarante-quatre premières pages de l’essai collectif, le premier en tant que théoricien littéraire réfléchissant sur ce que le vélo fait à/de la littérature de voyage, voire plus largement à/de la littérature ; le second en tant que « cyclo-voyageur » (Piguet, p. 23) polymathe qui refuse de « rouler idiot » (Piguet, p. 23) et choisit d’interroger la réflexivité même du récit cycliste (…) Gérard Bastide propose quant à lui une illustration pratique et concrète de la proposition forte énoncée par Raphaël Piguet au seuil de l’ouvrage : en neuf variations, toutes ponctuées d’un titre qui exploite le champ lexical du cyclisme, il décline sa vision du vélo, ainsi qu’une poétique en acte de la mise en discours de l’expérience cycliste. Dans ces textes qui oscillent entre micro-essais, aphorismes et prose poétique émaillée de mots précieux et d’onomatopées mélodieuses où l’on croit reconnaître la patte du maître Henri Michaux – une phrase de son Ecuador (1929), clairement référencée, fournit d’ailleurs son titre à la quatrième variation (Bastide, p. 34) – Bastide produit une histoire déconstruite du voyage à vélo, dont les auteurs et voyageurs, de Marco Polo à Jules Romains en passant par Montaigne, sont les instances tutélaires dûment identifiées. C’est une manière efficace et définitive d’inscrire le vélo dans un imaginaire du voyage et dans une histoire du récit de voyage et de la littérature qui l’ont tant ignoré.
Marie MOSSÉ, « Raphaël Piguet (dir.), À plume et à pédales – Voyages cyclistes, La Revue des lettres modernes, Paris, Lettres modernes Minard, coll. « Voyages contemporains », no 4, 2022, 290 pages, ISBN : 978-2-406-12996-7. », Viatica [En ligne], HS 5 | 2022, mis en ligne le 30 novembre 2022, consulté le 08 décembre 2022. URL : http://revues-msh.uca.fr/viatica/index.php?id=2441
Littératures imaginaire sociétés, Université de Lorraine
Ma chronique du Cycliste Oblique dans la revue du Cyclo Camping international, hiver 2022
Ma chronique du « Cycliste oblique » de la revue du Cyclo-Camping International, automne 2022
Ma chronique du Cycliste Oblique dans le numéro 163 de la revue du CCI, été 2022.
Ma chronique du « cycliste oblique » de la revue du CCI-printemps 2022