L’Intrépide Centripète finira bien par être diffusé, lu, reconnu, du moins on l’espère. En attendant, une critique largement positive parue dans « le randonneur « de septembre fait toujours du bien .
Tous les articles par Gérard Bastide
éloge du voyage lent
Rendez-vous inévitable de l’été des voyageurs- ou des voyageurs de l’été- le festival du voyage lent du Roc-Castel au Caylar (34)a une de fois de plus rempli à 100/100 sa mission folle, salutaire, poétique, humaine, écologique, musicale, festive, bourlingueuse, unique ! J’y étais, j’y fus pour présenter ma (cir)conférence sur la recherche du Centre et tout autant pour refaire le plein d’énergie auprès de tant de lurons et lurones ! Je joins quelques photos de cet extraordinaire temps de rencontres. C’est quand déjà l’édition 2017 ? !
joli commentaire
GB décontamine le village du Caylar
Animation-surprise sur la place du village du Caylar : août 2016, c’est l’ édition annuelle du festival des voyageurs, » Eloge du Voyage Lent » et GB entreprend de décontaminer à mains nues le public infecté bien sûr par ce virus des voyages. Le film entier a été réalisé par Christian Lebon ( festival du Caylar, partie 1) Votre serviteur apparaitra entre 9’45 » et 11’16 ». Par ici la bonne soupe !
Cabaret à trois temps…
l’Intrépide Centripète à Saumur
Pedegueine à Castans
« un jour rayonnant »
Sur un prétexte de Pascal Dessaint « ça va chauffer… » la communauté Tarn et Dadou proposait son concours annuel de nouvelles. J’ai fait partie des lauréats avec « un jour rayonnant ». Ca commence comme ça :
La montre indiquait à peine 6 heures 30. Abe écarta avec précaution les épaisseurs de rideaux superposés et jeta un oeil soucieux par l’étroite ouverture. Ca chauffait et c’était stupide de croire qu’il pouvait en être autrement. Au dehors, dans ce qui avait été autrefois des jardins se dressaient les rares carcasses d’arbres qui avaient pu résister jusqu’à présent aux incendies spontanés. Dans les rues incandescentes du quartier, on devinait les maisons calfeutrées tant bien que mal contre le rayonnement mortel, les piscines vides recouvertes de bâches qui étaient devenues avec le temps comme autant de refuges provisoires pour des hordes d’errants. Le soleil, ce fameux soleil, source de vie et de bienfaits, l’absolue nécessité des hommes dans les siècles passés, l’astre mortifère pesait désormais de tout son poids sur la planète et dardait ses rayons impitoyables sur toute chose vivante. Les oiseaux étaient partis les premiers et avec eux leurs chants. Ils avaient déserté en masse vers d’incertains refuges en suivant leur instinct millénaire… Continuer la lecture de « un jour rayonnant »