C’était en 2009-déjà- et j’avais invité Pascale Soulas et « Poppy » à présenter leurs oeuvres récentes dans le cadre du Thorégraphe au collège de Labastide-Rouairoux. Deux tempéraments, deux styles bien différents, L’expo s’intitulait « dessine-moi un naïf ». (Voir Ladepeche.fr)
une petite vidéo sympa tournée par la Région Languedoc-Roussillon dans le Parc du Haut-Languedoc ..et sur la voie verte (avec GB dans le rôle du cycliste ) ! c’est ici
suivi d’un plateau télé à la Foire de Montpellier où les deux compères révélent tout tout tout sur le Parc .
Le 15 octobre sur le plateau de la Région Languedoc-Roussillon et dans le cadre de la Foire de Montpellier en direct, la journaliste Sophie Dumas interviewe François Picaud du CPIE et l’inévitable GB sur le Parc du Haut-Languedoc et la voie verte.
Par ici !
et le thème de la famille. Plus de 30 docus, des bonus, de scénaristes, des expos photos, des comédiens, musiciens, une cantine, des débats, une agora, un chapiteau de cirque, une caravane, une magnifique mobilisation d’énergies pour cette 7° édition du festival du film documentaire de Labastide-Rouairoux « sur les pas de Christophe de Ponfilly », cette année sur le thème de la famille. Au sens le plus large possible. J’ai tâché d’y participer à ma façon en créant une installation, « les pièces rapportées », un salon bien kitsch et franchouillard où les objets livrés à eux-même produisent des commentaires totalement décalés (photo « la famille » dans l’album « installations ») et aussi sur le site du festival
…des commandos à Montlouis, pas pour faire un stage-survie, mais pour répondre à l’invitation du Parc Régional des Pyrénées catalanes pour présenter la voie verte du Haut-Languedoc. Le tout à l’occasion des Journées Vauban. L’occasion rare de découvrir de l’intérieur cette cité militaire depuis Louis XIV…et de goûter aux spécialités locales sous le soleil des Pyrénées Orientales !
( paru sur le site du collectif pour la sauvegarde de la zone humide du Testet)
Les réponse alambiquées et purement comptables du Conseil Général du Tarn confirment tout le mal que je pense de cette prétendue notion de « compensation ». »Dépenser, compenser », la racine est la même. On est face à une logique comptable d’essence néo-libérale qui se contrefiche des impacts réels sur le vivant. Ca avait commencé il y a quelque temps avec les hélicos à la Nicolas Hulot et autres Arthus-Bertrand : je te parcours 1000 km en hélico, mais à la place et « pour compenser », je replante des
arbres ou j’ouvre une école au fond de la brousse.L’arithmétique y trouve peut être son compte, pas la biodiversité.Et que je te verdis mon image et que je me donne bonne conscience à peu de frais.
Déclinaisons possibles :
je fume comme un pompier la semaine mais »pour compenser »
je fais deux heures de running en salle et trois longueurs de piscine le dimanche;
j’ai écrasé accidentellement un gamin mais « pour compenser », le tribunal
estime à tant de milliers d’euros le préjudice;
je détruis des milliers d’hectares de forêt primaire et
« pour compenser » je crée une fondation verte…etc.
on touche le fond de l’absurde comptable avec « la plus-value des travaux »
et les « coefficients multiplicateurs ».
La nature, ça vit, ça meurt, ça pousse, ça se régénère ou ça se pétasse, mais ça ne se compense pas.
Difficile d’expliquer ça à une salamandre écrasée ou un paysan exproprié.
Il s’agit clairement de deux conceptions du monde qui s’affrontent.
c’est peu dire qu »ils » ne sont pas prêts à entendre nos arguments…
…où même le Midi Libre s’intéresse au Festival occitan des Hauts Cantons de l’Hérault ! Il s’y est passé tant de choses. GB y était pour intervenir en zonard allumé à la recherche de la vérité, en prince-coq qui finit à poil, en moine bouddhiste pour finir en rockstar. Quelle vie d’artiste !
Comme chaque année depuis 29 ans, le festival de théâtre de rue d’ Aurillac se tient fin aoüt. Plus de mille compagnies, des spectacles à chaque coin de rue, la fête permanente mais aussi festival militant avec entre autres la question du statut des intermittents et précaires. L’Intrépide Centripète y était avec son vélo pour s’en mettre plein les yeux…et continuer à chercher son centre.
dernière semaine d’août, semaine -cinéma ! Nous avons tourné coup sur coup 2 séquences sur la voie verte, une pour la Région Languedoc-Roussillon, une avec une agence de com et le Parc pour promouvoir la voie verte Passapaïs et la destination Parc en général.
Les figurants ont fait de leur mieux !
FR3 sur la voie verte
Hé oui, l’Intrépide était fin juillet au Caylar pour la 4° édition du festival des Voyageurs « éloge du voyage lent » pour tenter d’obtenir des information sur l’existence d’un centre …
